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"Suivant l'avis du gouvernement, l'Assemblée a rejeté la PMA post-mortem et la méthode Ropa. Deux points qui étaient défendus par des députés LREM, dont le co-rapporteur de la loi bioéthique." [RDP du 30 juillet 2020]

"Après de vifs échanges entre la droite et la majorité, les députés ont écarté mercredi sur la «Ropa» et la PMA post-mortem, deux des mesures les plus polémiques du projet de loi."

"Promesse de campagne d'Emmanuel Macron, ce texte a suscité quelques remous au sein de la majorité présidentielle. Certains députés LaREM voulaient aller plus loin, mais le texte est resté fidèle à la vision de l'exécutif." [RDP du 31 juillet 2020]

"En première lecture, le gouvernement estimait "choquant" de remettre en cause le "contrat moral" établi avec les précédents donneurs." [RDP du 31 juillet 2020]

"L'article 1 du projet de loi ouvrant l'accès à la PMA à toutes les femmes a été adopté mercredi soir, au terme de trois jours de débats. La commission spéciale a échoué à faire passer des dispositions plus « avant-gardistes », dont le gouvernement ne voulait surtout pas." [RDP du 31 juillet 2020]

"Lors de l'examen en deuxième lecture du projet de loi, la question a divisé la majorité, certains jugeant paradoxal d'ouvrir la procréation médicalement assistée aux femmes seules sans permettre aux veuves la poursuite d'un projet parental." [RDP du 31 juillet 2020]

"Les députés ont supprimé mardi 28 juillet dans la soirée une série d'amendements à l'article 1er du projet de loi bioéthique qui proposait de disposer que « nul n'a de droit à l'enfant »."

"Actuellement débattu en deuxième lecture à l'Assemblée, le projet de loi bioéthique « témoigne d'un manque de cohérence » dû à « des principes éthiques mal assumés », explique à Aleteia le député centriste de la Marne, Charles de Courson."

"« Nous sommes en train de casser l'édifice du droit de la filiation fondé sur la réalité biologique pour la mère et le principe de vraisemblance biologique pour le père », prévient Pascal Brindeau, député UDI du Loir-et-Cher."

"Le texte crée déjà des tensions devant la commission spéciale de l'Assemblée."

"Les députés ont adopté une proposition qui vise à lutter contre ces pratiques cherchant à modifier l'identité de genre ou l'orientation sexuelle des personnes. Le Sénat doit encore toutefois l'entériner."